7 février 2013 à 12:00
Jean Luc FLORENT (Fanjeaux, Première division) : "Une chance sur deux de monter..."
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Pour sa deuxième saison sur le banc de Fanjeaux, Jean-Luc Florent bagarre avec ses troupes pour envoyer son club parmi l'élite départementale, pour la première fois de son histoire.
Jean Luc FLORENT (Fanjeaux, Première division) :
"Une chance sur deux de monter..."
Pour sa deuxième saison sur le banc de Fanjeaux, Jean-Luc Florent bagarre avec ses troupes pour envoyer son club parmi l'élite départementale, pour la première fois de son histoire. Une mission délicate, bien que Fanjeaux occupe la deuxième place du classement. Car avec un match en plus, les hommes du président Castel doivent aussi combiner avec les moyens d'un village de huit cents âmes.
Jean Luc Florent, vous êtes à la lutte pour l'accession en PH. Quelles sont vos chances d'y parvenir ?
On a une chance sur deux de monter. On a fait des matchs nuls contre Montagne-Noire et Castelnaudary, bien que ces deux équipes se soient beaucoup renforcées. Montagne-Noire a récupéré des joueurs du FACV Carcassonne et Castelnaudary a fait signer pas mal de joueurs pour son équipe une. Du coup, il y a un bon groupe en réserve. Nous n'avons pas connu beaucoup de départs et les gars se connaissent par coeur. Cela fait trois ans qu'ils jouent ensemble. C'est un avantage. Après, il y a aussi les blessés. On n'a pas eu beaucoup de chance et cela a joué en notre défaveur. Je n'ai jamais pu aligner la même équipe sur les cinq derniers matchs.
Vous recevrez Castelnaudary et Montagne-Noire lors des matchs retour. Un calendrier plutôt avantageux non ?
Je pense qu'il est assez favorable. Mais il faut continuer comme on le fait. Parce que si Castelnaudary continue à jouer le haut du tableau, on a toujours peur que des joueurs de l'équipe une descendent renforcer la réserve. Il ne faut pas avoir la grosse tête. On reste Fanjeaux. Il y a une bonne ambiance mais on risquerait de perdre contre des petites équipes. Comme l'année dernière, on espère finir dans le haut du tableau.
On a une chance sur deux de monter. On a fait des matchs nuls contre Montagne-Noire et Castelnaudary, bien que ces deux équipes se soient beaucoup renforcées. Montagne-Noire a récupéré des joueurs du FACV Carcassonne et Castelnaudary a fait signer pas mal de joueurs pour son équipe une. Du coup, il y a un bon groupe en réserve. Nous n'avons pas connu beaucoup de départs et les gars se connaissent par coeur. Cela fait trois ans qu'ils jouent ensemble. C'est un avantage. Après, il y a aussi les blessés. On n'a pas eu beaucoup de chance et cela a joué en notre défaveur. Je n'ai jamais pu aligner la même équipe sur les cinq derniers matchs.
Vous recevrez Castelnaudary et Montagne-Noire lors des matchs retour. Un calendrier plutôt avantageux non ?
Je pense qu'il est assez favorable. Mais il faut continuer comme on le fait. Parce que si Castelnaudary continue à jouer le haut du tableau, on a toujours peur que des joueurs de l'équipe une descendent renforcer la réserve. Il ne faut pas avoir la grosse tête. On reste Fanjeaux. Il y a une bonne ambiance mais on risquerait de perdre contre des petites équipes. Comme l'année dernière, on espère finir dans le haut du tableau.
"On est très fort chez nous, mais moins à l'extérieur..."
Cinq victoires à domicile en cinq matchs, mais un bilan nettement moins bon à l'extérieur. Comment expliquez-vous cette différence ?
C'est un problème récurrent à Fanjeaux. On est très fort chez nous, mais moins à l'extérieur. Cette saison, on marque toujours les premiers, puis on a une baisse de régime de dix minutes ou un quart d'heure. Excepté contre Limoux où nous étions arrivés à revenir ou Castelnaudary, où l'on avait beaucoup défendu, cela a souvent été le cas. Et heureusement pour nous, Castelnaudary avait eu un expulsé. Tous les joueurs ont la pression quand vous jouez le haut du tableau. Aussi bien à domicile qu'à l'extérieur. C'est très dur à gérer, mais on y arrive.
C'est un problème récurrent à Fanjeaux. On est très fort chez nous, mais moins à l'extérieur. Cette saison, on marque toujours les premiers, puis on a une baisse de régime de dix minutes ou un quart d'heure. Excepté contre Limoux où nous étions arrivés à revenir ou Castelnaudary, où l'on avait beaucoup défendu, cela a souvent été le cas. Et heureusement pour nous, Castelnaudary avait eu un expulsé. Tous les joueurs ont la pression quand vous jouez le haut du tableau. Aussi bien à domicile qu'à l'extérieur. C'est très dur à gérer, mais on y arrive.
Christopher Roux
Jean Luc Florent
Poste : entraîneur
Joueur : Fanjeaux
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